Une fois de plus j'ai adoré votre dernière plaquette. C'est encore la même force, unique. J'aime beaucoup cette construction alternant les deux séries de textes, qui structure l'ensemble et m'a fait penser à l'excellent la Portée de l'ombre de M.- A. Bruch (chez R. de Surtis aussi). Quant à l'alliance oxymorique entre le mysticisme et l'abîme de folie et de désespoir qui habitent ou hantent ces pages, elle leur donne justement cette force étrange, cet éclat de diamant noir qui est votre marque. Mon seul regret : que ce soit si court ! 
Bravo encore, Catherine, et encore merci.
Amitiés,
Julien